A coups de grands titres barrant les unes, de slogans éculés, de discours anxiogènes, ils tentent de rejouer la parade « antifasciste ».
« Ils », ce sont les adversaires politiques et les médias, c’est-à-dire ceux qui ont peut-être peur, non pour l’avenir de la démocratie (ou de l’humanité), mais pour leurs postes, les privilèges qui vont avec, et leur monopole dans le débat.
Plus personne n’y croit vraiment. Ni Marine Le Pen, ni ses soutiens, ni Chez Nous, rangés dans cette infamante catégorie, ne sont d’extrême droite. Nous ne sommes, dans nos idées et dans nos comportements du quotidien, ni racistes, ni brutaux, ni hostiles.
Nous sommes même pour l’immense majorité des hommes et des femmes, des jeunes des moins jeunes, de compagnie agréable, prenant notre combat avec sérieux et aimant plaisanter à l’occasion.
Nous sommes beaucoup plus modernes que nos adversaires : nous défendons notre identité que nous aimons et qui est aujourd’hui menacée et reconnaissons aux autres peuples du monde le droit de le faire dans leur espace géographique ; pour cette raison, nous connaissons même souvent mieux les autres cultures que nous ne souhaitons pas voir disparaître dans le magma mondialiste.
Ne vous laissez plus faire quand on vous accuse d’être d’extrême droite. Ne vous laissez plus avoir quand vous entendez que les médias et les hommes politiques utilisent ce terme pour décrédibiliser un adversaire !
Ils sont dépassés, nous sommes l’avenir !