Le voile à la STIB : ce qui n’a pas été dit !
Après de nombreux retournements de situation suite à la décision du Tribunal du Travail de Bruxelles, la STIB a finalement décidée de laisser le gouvernement bruxellois trancher la modification éventuelle de son règlement concernant le port du voile islamique par ses employées musulmanes.
Si l’ensemble des partis politiques francophones y sont allés de leur commentaire à l’instar de Rajae Maouane (Ecolo) qui s’est d’ailleurs distinguée par la confusion de son propos, nous sommes convaincus que tout n’a pas été dit.
Il est urgent de stopper l’immigration
En effet, le retour du religieux ne peut pas être pensé en dehors de tout débat sur l’immigration. Les revendications communautaristes émergent dans une société où l’intégration de nombreux nouveaux arrivants ne peut plus se faire dans de bonnes conditions.
C’est d’ailleurs ce que ne disent pas les opportunistes de service qui comprennent bien qu’il est devenu politiquement intéressant de refuser le voile, sans pour autant poser la question qui fâche et que tous veulent ignorer. Les voici dès lors tiraillés entre leur électoralisme communautariste et la colère de la grande majorité de la population qui refuse l’islamisation de son pays.
Le voile islamique à Molenbeek, Saint-Josse ou Schaerbeek ?
Pour confirmer le lien entre immigration et islamisation, il suffit de se pencher sur les multiples exemples des communes ayant pris l’initiative de voter en faveur de l’autorisation du port du voile dans leur administration l’an dernier. Il s’agit de Molenbeek, Schaerbeek ou Saint-Josse, communes dans lesquelles y vit une importante communauté musulmane. On ne vous fait pas un dessin : PTB, PS, CdH et surtout Ecolo ne font que répondre politiquement à la demande d’une population qui revendique le droit de porter des signes ostentatoires en dépit de la nécessaire neutralité du service public.
La gauche soumise aux islamistes !
Alors que celle-ci n’a eu de cesse, à travers son histoire, de bouffer du curé toute la sainte journée, la voici prise dans un piège : son idéologie la pousse désormais à défendre ceux qui veulent soumettre peu à peu notre société à l’islam politique. En militant désormais pour le port du voile islamique dans les écoles, dans les administrations communales ou maintenant à la STIB, cette gauche qui pense défendre les minorités fait pourtant le jeu des islamistes. Les concepts vagues de « neutralité inclusive » ne font qu’attester de la folie qui s’est emparée d’une bonne partie de l’échiquier politique.
La réponse par la laïcité n’est pas forcément souhaitable
De gauche à droite, voici désormais que nombreux sont ceux à chercher un moyen de sortir de ce problème qui enflamme notre pays depuis plusieurs jours maintenant. En proposant l’inscription de la laïcité dans notre Constitution, le parti Défi par exemple tente de ne pas perdre la face. C’est sans doute oublier un peu rapidement que la complexité de notre État sera largement impactée par un tel ajout. Quid des réseaux d’enseignements par exemple ? Surtout, il suffit de voir la situation en France pour se convaincre que la laïcité n’empêche pas l’avancée des islamistes.
Cette fausse bonne idée provoquerait la négation de notre identité. Faute de se poser les bonnes questions sur l’islam, voici qu’on s’attaque directement au Te Deum du 21 Juillet, aux nombreuses références chrétiennes de notre Histoire ; ceci assurerait l’impossibilité d’un retour en arrière en ce qui concerne le nom de nos vacances. La laïcité, c’est dire vacances « d’Hiver » plutôt que de Noël. Pour nous, ce n’est pas acceptable !
Les enjeux sont trop importants pour nous taire !
Il faut le dire sans ambages : nous refusons le chantage à l’islamophobie, au racisme et à toute autre intimidation intellectuelle car cela fait le jeu des islamistes tout autant que les réponses des politiques qui refusent d’aller à la racine du problème.