De quelle liberté disposons-nous encore aujourd’hui, si ce n’est celle de suivre le chemin balisé par le politiquement correct ?
Ils nous ont tout retiré.
« Ils », ce sont les partis traditionnels.
« Nous », ce sont les citoyens ordinaires, vous et moi. Ce qu’ils nous ont retiré, ce sont (entre autres) les dix libertés suivantes ! Et cela date de plusieurs décennies.
La liberté de penser de façon autonome : il n’est plus possible aujourd’hui d’exprimer une opinion qui n’est pas assujettie au politiquement correct ; le constat vaut pour à peu près toutes les problématiques, dont les questions migratoire et environnementale.
La liberté de nous exprimer : les cordons sanitaires ne sont pas, comme ils le prétendent, un moyen de défendre la démocratie, mais de ne pas avoir à justifier leur bilan désastreux ; dans une démocratie saine, un parti comme Chez Nous devrait déjà être représenté dans les Parlements et en tout cas avoir un accès au média.
La liberté de défendre notre identité : être opposé à l’immigration massive, défendre nos traditions et nos terroirs, remettre l’église au milieu du village (au sens propre et au sens figuré) vous transforment en être infréquentable ; pourtant quoi de plus beau que défendre ce que nous sommes ?
La liberté de circuler : les confinements, les entraves à nos déplacements, la diabolisation de la voiture ont mis à mal, ces dernières années, notre libre capacité à nous déplacer ; tout ceci ne vaut évidemment pas pour les migrants qui, à leurs yeux, devraient être libres de se déplacer partout sur terre ?
La liberté d’être en sécurité : combien d’hommes et de femmes n’osent plus sortir de chez eux le soir venu tout simplement parce que l’État a failli dans sa mission d’assurer leur sécurité ? quels parents laissent leurs enfants seuls dans la rue, de crainte qu’ils ne se fassent agresser ?
La liberté de maîtriser notre corps : voilà que de plus en plus de voix s’élèvent pour nous obliger à nous vacciner ; souvent ce sont les mêmes qui prétendent que notre corps nous appartient lorsqu’il s’agit d’IVG (ou bien ce sont de grands hypocrites, ou bien ils sont inconséquents).
La liberté de prendre en mains notre destin : notre liberté d’entreprendre, que ce soit celle de créer notre entreprise ou d’avoir d’autres types de projet, est aujourd’hui mise à mal par les tracasseries et autres restrictions qui sont autant de bâtons dans les roues (sans parler des impôts qui nous assomment).
La liberté de jouir notre propriété : même le droit à la propriété est bafoué ; depuis peu, une loi prévoit qu’un voisin peut venir placer une échelle ou un échafaudage sur votre terrain, même quand on est dans son pré carré, ils ne veulent plus que nous soyons chez nous !
La liberté de nous épanouir. Les loisirs sont désormais soumis aux restrictions diverses : pass sanitaire pour faire du sport (ou aller au restaurant…), demandes d’autorisation diverses, encadrement des activités etc.
La liberté d’éduquer nos enfants : les premières années de la vie sont essentielles dans la construction de notre personnalité ; il n’est désormais plus possible d’élever nos enfants comme nous le souhaitons, l’État interférant en la matière, comme lorsqu’il promeut les théories du genre dès le plus jeune âge (nous ne sommes même plus libres d’être des hommes et des femmes).
CHEZ NOUS réaffirme son attachement à nos libertés fondamentales !